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Éducation : l’heure des comptes pour le CSEFRS

Éducation : l’heure des comptes pour le CSEFRS
Éducation : l’heure des comptes pour le CSEFRS

À l’occasion de la neuvième session de son assemblée générale, tenue mercredi à Rabat, le Conseil supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche scientifique (CSEFRS) a été appelé à recentrer ses travaux sur les enjeux les plus structurants de la réforme éducative. À mi-parcours de son second mandat, l’institution est sommée d’accélérer la cadence.

Dans son allocution d’ouverture, la présidente du Conseil, Rahma Bourqia, a insisté sur l’urgence d’une action plus ciblée et plus efficace, capable de générer un impact réel sur l’ensemble du système éducatif. Le Conseil, a-t-elle rappelé, doit assumer pleinement son rôle d’évaluateur et de force de proposition, en formulant des analyses rigoureuses, des diagnostics précis et des recommandations tournées vers la transformation.

Cette session s’est ouverte sur un constat de nécessité : renforcer l’efficience des travaux, resserrer les priorités autour des chantiers critiques et répondre aux attentes légitimes des apprenants, des familles et de la société.

Parmi les points à l’ordre du jour, figure un projet de rapport sur la résilience de l’école en temps de crise, élaboré par la commission en charge des programmes et des outils pédagogiques. Cette étude interroge la capacité du système à garantir la continuité des apprentissages dans des contextes de perturbation.

Les présidents des commissions permanentes ont également présenté l’état d’avancement de leurs projets. Ce rendez-vous a été l’occasion de procéder au renouvellement du bureau du Conseil et des présidences de commissions, dans le cadre de la réorganisation de ses structures à mi-mandat.

Rahma Bourqia a rappelé que le CSEFRS avait entamé, ces derniers mois, un travail d’évaluation interne destiné à valoriser les acquis, à corriger les faiblesses de gestion et à inscrire son action dans une logique de bonne gouvernance.

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